Je ne veux pas ressentir à nouveau ce vide et cette solitude,
Et pourtant il me condamne, nuit après nuit, à savoir que rien ne m'attend,
Rien à créer, rien à construire, rien à partager,
Rien que le vide, la solitude, rien d'autre à faire qu'à replonger
Dans le sombre et le froid et le morne...
Vivre comme une ombre, faible et inutile.
Une petite pensée datée du 8 novembre 2009, à propos d'une douloureuse rupture... Heureusement oubliée aujourd'hui !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire