L’abîme de sa noirceur
Est insondable. C’est une profondeur
Triste, incroyable, un joyau noir
De toute beauté, une triste pierre d’amande
Douce-amère. Brillante, le soir,
Telle aux étoiles, prends garde
Que la pupille ne fende ;
De couleurs vives tu te fardes,
Mais elles ne cachent pas ton œil.
D’apparence prometteuse
À l’intérieur ton deuil,
Ta pupille te trahit, pleureuse.
C’est l’œil de ta douleur
Qui te fait te trahir,
C’est la pupille de ta langueur,
Dans tes longs soupirs.
L’abîme de ta noirceur est insondable.
C’est une profondeur triste, incroyable.
C’est l’œil de la douleur,
Qui seul peut te trahir,
C’est la pupille de langueur
Qui seule, ceux qui la voient, fait souffrir.
Est insondable. C’est une profondeur
Triste, incroyable, un joyau noir
De toute beauté, une triste pierre d’amande
Douce-amère. Brillante, le soir,
Telle aux étoiles, prends garde
Que la pupille ne fende ;
De couleurs vives tu te fardes,
Mais elles ne cachent pas ton œil.
D’apparence prometteuse
À l’intérieur ton deuil,
Ta pupille te trahit, pleureuse.
C’est l’œil de ta douleur
Qui te fait te trahir,
C’est la pupille de ta langueur,
Dans tes longs soupirs.
L’abîme de ta noirceur est insondable.
C’est une profondeur triste, incroyable.
C’est l’œil de la douleur,
Qui seul peut te trahir,
C’est la pupille de langueur
Qui seule, ceux qui la voient, fait souffrir.
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